De 16h30 à 18h30

Échanges et débat questionnant la notion de censure et de liberté de création dans le spectacle vivant.

18h45 / 20h45
Court métrage - 26 minutes
Interdit aux - de 16 ans

Depuis leurs cellules, deux prisonniers arrivent à communiquer grâce à un trou percé dans le mur qui les sépare… À sa sortie en 1950, Un chant d’amour fut censuré et dut attendre vingt-cinq ans avant d’être distribué.

19h15
Théâtre, danse - 40 minutes
Étape de travail

Ce récit plonge le spectateur dans le cheminement intérieur d’un deuil. Celui d’un soldat de l’armée syrienne recevant, au front, la nouvelle de la mort de son père qu’il n’a pas vu depuis le début de la guerre.

20h10
Danse, Théâtre - 30 minutes
Étape de travail

Afshin Ghaffarian questionne le lien entre la vie des artistes/auteurs et leurs créations, mettant en résonance son parcours d’artiste en Iran, puis en France. Une création inspirée de l’œuvre de Jean Genet Quatre heures à Chatila.

21h30
Danse - 45 minutes
Pour adultes

Une rencontre entre deux hommes. Pierre est performeur et travailleur du sexe. Patrice, plus âgé, est éthicien et philosophe. Ils conviennent d’un troc, une forme d’échange sagesse-jeunesse. Un pas de deux en forme de dialogue complexe enchevêtrant récits de vie et réflexions philosophiques, à une partition chorégraphique sensible et profondément émouvante.

22h15
Performance - 30 minutes
Pour adultes

D’où vient l’idée que le sang des femmes est impur ? Le but de cette installation et œuvre collective est de présenter les menstruations des femmes comme une ressource plutôt que comme une malédiction.

17h30 / 18h10 / 18h50 / 19h30
Garage Moderne
Installation, audiospectacle pour 4 personnes - 30 minutes

Au centre d’un grand espace, une voiture des années 90. Devant elle, un écran faisant référence au drive-in cinéma. Quatre spectateurs prennent place et se laissent emporter par les mots de Jean-Luc Lagarce, les ambiances de tournées, les répétitions, la route de nuit et Macha Béranger à la radio...