MAISON DE LA a été créée dans un but de professionnalisation et la diffusion de l’Art Drag. 

La Charte :
. La MAISON DE LA est un espace Safe où chacun·e adopte un état d’esprit ouvert, respectueux et joyeux. Nous évoluons toustes, comme nous le souhaitons, peu importe notre âge, sexualité, genre, origine, physique. Oui, aucune discrimination ne sera tolérée.
. Nous sommes un espace d’écoute, de discussion et de partage. Où on ne coupe pas la parole. Où on responsabilise son état général afin de respecter son environnement humain et matériel.
. Le consentement c’est évident. Les limites de chacun.e sont non-négociables – le refus verbal ou physique aussi. Les créatures et le public se regardent mais ne se touchent qu’avec ledit consentement.
. Nous n’acceptons aucune intimidation ou persécution. La MAISON DE LA est un espace Safe où chacun·e accepte cette charte.
www.facebook.com/MaisonDeLa.BDX
instagram.com/maison_dela

Créature non genré⸱e Iel est dressé⸱e sur sabots, suspendu⸱e dans les airs, son corps est un jeu qu’iel maîtrise toujours. Formé⸱e dans deux des plus grandes écoles d’arts du cirque contemporain. Iel se forme parallèlement à la Magie Nouvelle et à la Dramaturgie pour concocter des Performances Uniques. De La Saboté⸱e est pluridisciplinaire, expert⸱e d’acrobatie aérienne. Cette créature combine ses savoir-faire et y injecte ses savoir-être. De La Saboté⸱e s’inspire de ses expériences pour créer des performances uniques convoquant l’imaginaire., la métaphore et le risque. Dans ses looks, iel s'inspire du sportswear, de l'art performatif, l'extase mythologique par dessus. Iel détourne le code acrobatique pour en créer une dramaturgie. Dans un Cadre d'Opulence : Iel serait la magitransformatrix Malefique, le terrible Dragon "Smaug" ou le Roi Triton... Dragqueer De La Saboté⸱e transcende son corps de créature et bouleverse tous les postulats, toutes les émotions.

Les portes multiples De La Beuhchaire s’ouvrent sur un univers clownesque, mélange punk et féérie. Les inspirations tourbillonnent, fusent, et se couturent dans ses tenues créées du A au Z - le talent au bout des doigts. Autodidacte de formation, De La Beuhchaire est une dévorée de la machine à coudre. Elle a développé une passion pour le Vintage, la Brocante et le Tissu. Le talent au bout de ses doigts. Nonchalante mélancolie… Serait-ielle asocial⸱e ? Pas d’inquiétude, elle ne vous dévorera pas. Peut-être. Elle vous transportera avec elle dans son monde grâce à des performances remplies d'émotions en restant parfois surpris·e par son coté Kinky. Talentueuse par son empathie palpable et son spleen légendaire, De La Beuhchaire dit "Beuhchinette" est avant tout une créature sensible et aimante. Dragqueer Beuchaire neutralise toute forme de genre pour être perçue comme la créature monstrueusement habile qu’elle incarne.

C'est une passion. C’est quelque chose d'irrationnel. Et essayer d'expliquer l'irrationnel fait perdre à l'irrationnel la magie elle-même…

Artiste pluridisciplinaire photographe, performeur, couturier et maquilleur, il aime lier toutes ses passions et les mélanger pour créer un univers entre fantasme et réalité.

Otopsie est drag queen et costumière lyonnaise.
Impératrice de la métamorphose autoproclamée, dans son monde le baroque côtoie l’absurde, se pare d’humour et se saupoudre de paillettes. Sous ses doigts créatures intrigantes et costumes loufoques prennent vie.

DJ, metteure en scène et éclairagiste, Bobbi Watson distille dans ses sets un dansant mélange de deep percussive et techno aux accents ambients et cosmiques. Membre du collectif Azurium, son univers est une invitation à voyager dans le temps et l'espace, jeu de contraste entre basses sombres et puissantes, mélodies interstellaires et percussions ensoleillées.
soundcloud.com/bobbiwatson

Court-métrage expérimental qui essaie de démêler les raisons intimes de pourquoi on fait la fête. Il dresse le portrait d’une communauté dont la préoccupation du lundi matin est de savoir où elle sera le vendredi soir. C’est un film qui célèbre le monde de la nuit et la liberté inhérente à la culture rave. Un film pour tous ceux qui ne savent vivre qu’une fois la nuit tombée, les yeux fermés, emportés par le rythme de la techno.

Né à Paris d’une mère vénézuélienne et d’un père français, Arthur Lacomblez travaille quelques années chez Agat Films avant de déménager à New York où il débute sa carrière dans la réalisation de films publicitaires pour des marques de luxe. Lui-même queer, il aime traiter des thématiques LGBTQ+, d’identité et tout ce qui touche de près ou de loin à la nuit et à la liberté. Des problématiques centrales à son travail. Le Manifeste de la Nuit est son premier court métrage.